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 louis-simon gallet.

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margaux.
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margaux.

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MessageSujet: louis-simon gallet.   louis-simon gallet. EmptyMer 9 Mar - 4:39

Louis-Simon Gallet
ft. sam claflin
» Prénom(s) : Louis-Simon Paul Thomas. » Nom de famille : Gallet. » Nom d'usage : Louis-Simon Gallet. » Surnom/pseudonyme : Lou, l'cuistot (par ses potes), l'absent (par son ex-femme), ça dépend. » Nationalité : Française. » Origines : Françaises. » Date de naissance : Vingt-cinq septembre mille-neuf-cent-quatre-vingt-six. » Lieu de naissance : Paris, France. » Lieu de résidence actuel : Washington. » Occupation actuelle : Chef cuisinier de la Maison Blanche. » Statut civil : Divorcé, père et célibataire.

god bless america (& its citizens)
ce qu'il faut savoir sur ton personnage


sa fille. » Judith, sa fille de cinq ans. Elle est son tout. Son espoir, son soleil, sa force et sa faiblesse. Quand il pense à elle, y’a son sourire qui s’étire mais aussi son coeur qui souffre. Parce que Judith est loin, trop loin. De l’autre côté d’un océan tout entier. Et qu’à cinq ans, on ne comprend pas toutes ces choses d’adulte. On ne comprend pas qu’un papa puisse vivre à des milliers de kilomètres de sa petite fille. Alors à ses « pourquoi » il répond des « tu comprendras ». Il a déjà essayé de lui expliquer plusieurs fois, avec des mots gentils, avec des mots d’enfants. « Parfois, les adultes ne s’aiment plus suffisamment, alors ils décident de s’aimer autrement. De s’aimer de plus loin. » À chaque fois, Judith fronce les sourcils et lui répond que les adultes sont trop compliqués. Qu’elle, son papa, elle voudrait l’aimer de tout près.
son divorce. » Louis-Simon aurait aimé que son mariage tienne la route. Mais il sait que c’est lui qu’a arrêté d’avancer. Que c’est lui qu’a sauté en plein voyage. Parce que son grand-père s’est envolé et qu’il n’était pas prêt pour ça. Alors il s’est éloigné. Éloigné de tout mais surtout de Jade et de Judith. Il les a laissé sur le bord de la route en se jurant d’aller les retrouver quand il irait mieux. Mais ça a mis trop de temps. Et le temps, ça détruit les amours fragiles. Alors Jade a arrêté d’aimer Louis-Simon, et Louis-Simon a arrêté d’aimer Jade. Ils se sont enlacés si fort que leurs bras ont fini par s’épuiser et qu’ils ont perdu leur force, qu’ils ont perdu leur amour. Ça n’a pas fait de peine à Lou de quitter Jade. Peut-être qu’il était un peu nostalgique. Mais son vrai chagrin a été de lui laisser Judith. Elle est là, sa vraie séparation.
son boulot. » C’est son grand-père qui lui a transmis sa passion pour la cuisine. C’est lui qui lui a montré comment faire. Alors Lou s’est contenté de marcher dans ses pas. À son grand-père, il lui a promis les étoiles. Et ensemble, ils ont décroché la première. Puis après la mort de son grand-père, Louis-Simon s’est battu pour remporter la deuxième. Mais il avait besoin de changer d’horizon, de laisser les souvenirs douloureux derrière lui. Alors il a laissé le restaurant familial pour s’envoler direction Washington. La France allait lui manquer. Sa fille allait lui manquer. Mais il allait travailler pour le président des États-Unis. Cuisiner pour lui, pour sa famille, lui faire découvrir la gastronomie française, la cuisine simple et gourmande de son grand-père. En tant que chef de la Maison Blanche, il a plusieurs cuisiniers sous ses ordres. Ensemble, ils cuisinent aussi bien pour les repas officiels que pour les repas privés de la famille présidentielle.
sa famille. » Louis-Simon a toujours été plus proche de ses grands-parents que de ses parents, bien plus attiré par la simplicité que par la bourgeoisie. Il est fils unique mais n’a jamais eu le sentiment d’être seul. Ses parents auraient rêvé le voir rejoindre une grande université et par la suite devenir médecin ou avocat. Rien de plus cliché. Mais lui, il a choisi les choses simples. Les belles choses. Son grand-père a toujours été un modèle pour lui. Tous les deux, ils se comprenaient, se tiraient vers le haut, pouvaient parler pendant des heures sans même ouvrir la bouche. Leur relation était vraiment très forte. Peut-être a-t’il trouvé en lui ce qu’il aurait aimé trouver en son père. Un soutien sans faille, une complicité unique. Il les aime ses parents, c’est certain. Il aurait seulement aimé que les choses soient différentes. Plus fortes, plus sincères. Plus évidentes.
sa voisine. » Lou vit en colocation avec Holia. Holia lui a fait découvrir la ville, elle lui a appris tout ce qu’elle connait sur Washington. Mais elle a oublié de lui parler de celle qui vit de l’autre côté du mur de leur salon. Mila. Elle a oublié de lui dire qu’elle allait toucher son coeur d’une façon particulière. Au début, Lou croisait Mila assez rapidement dans les couloirs de leur immeuble. Puis il a fini par se rendre sur le toit assez régulièrement, pour prendre l’air et observer le monde à ses pieds. À chaque fois, Mila était là. Impénétrable, distante. Mais il s’est jeté à l’eau, Lou. Il a pas eu peur de se tremper. Et ils ont fini par parler. Par se revoir. Par construire une relation solide et agréable. Une relation officiellement amicale. Mais c’est de plus en plus évident. Quand il voit Mila, Louis-Simon ressent quelque chose de beau. Seulement, il a peur de détruire ce qu’ils ont déjà. Et puis il y a leur différence d’âge, aussi… Alors peut-être que cette fois, il se retiendra de faire le grand saut.
ses passions. » Louis-Simon est un homme passionné. Bien entendu, sa première passion restera à jamais la cuisine. Cette science pure et précise, capable de nous faire voyager dans un monde aux sensations uniques et gourmandes. Après la cuisine, c’est la natation. Il a besoin de brûler son énergie, de sentir son corps fatiguer, de glisser sur l’eau aussi vite qu’il le peut. Puis surtout, dans l’eau, on se sent plus léger. Alors il oublie ses peines et saute plus loin, le coeur comme anesthésié. Il nage dès qu’il le peut. Avant d’aller bosser ou après ses journées en cuisine. Il y a une dernière chose qui le passionne. L’Histoire. Il n’a jamais trop aimé l’école quand il était gosse. Mais il trouve ça impressionnant, l’Histoire. Toutes ces civilisations, ces découvertes. S’il avait plus de temps, il passerait des journées entières à visiter des musées.
en résumé. » Louis-Simon est né et a grandi à Paris. ✳︎ Ses parents faisaient partie de la bourgeoisie parisienne. Appartement bien situé, tenues de créateurs, sourires en toutes circonstances. ✳︎ Lou ne s’est jamais senti à sa place dans ce milieu trop axé sur les apparences. Il fuyait souvent les dîners mondains pour se réfugier dans le restaurant de ses grands-parents. ✳︎ Son grand-père était le chef d’un petit restaurant modeste aux plats simples et gourmands, quant à sa grand-mère, elle s’occupait de la gestion de la trésorerie et de la décoration. ✳︎ Louis-Simon n’a jamais été très emballé par l’école, sans pour autant être mauvais élève. Mais son coeur a toujours été tourné vers la cuisine, grâce à son grand-père. ✳︎ Très vite, il a commencé à cuisiner pour lui (il avait alors quatorze ans), jusqu’à passer la totalité de son temps libre au restaurant. Au départ, il se contentait d’éplucher les pommes de terre et de laver les légumes. C’était lui, le commis, le bon à tout faire. On l’appelait d’un bout à l’autre de la cuisine pour qu’il fasse les tâches les plus déplaisantes. Mais il en redemandait. Parce qu’il savait que c’était de cette manière qu’il progresserait. ✳︎ Après plusieurs mois, il a commencé à cuisiner pour de vrai. Il y a eu des ratés, c’est sûr. Mais très vite, il y a eu la révélation. Louis-Simon serait cuisinier. Non, il serait chef. Il a même promis à son grand-père qu’ensemble, ils gagneraient une étoile pour le restaurant. C’est arrivé quatre ans plus tard. À dix-huit ans, Lou a aidé son grand-père à capturer sa première étoile. ✳︎ Louis-Simon s’est inscrit à la meilleure école de cuisine de la capitale lorsqu’il a eu seize ans. Il s’est rapidement imposé comme le meilleur élève de sa promotion. ✳︎ Mise à part la cuisine, Lou est passionné de natation. Il nage dès qu’il le peut, pour se vider l’esprit et garder la forme. Et si l’école ne l’a jamais trop emballé, il y a pourtant une matière qu’il aimait particulièrement. L’Histoire. Aujourd’hui encore, c’est un domaine qui le passionne. Il lit un tas de bouquin à ce sujet, et visite des musées dès qu’il en a l’occasion. ✳︎ Quand il a eu dix-neuf ans, Louis-Simon a rencontré Jade. Ça a tout de suite été le coup de foudre. Ils se sont mariés trois ans plus tard, et ont eu une petite fille, Judith, deux ans après leur mariage. Lou avait alors vingt-quatre ans. ✳︎ Quelques mois après la naissance de Judith, le grand-père de Louis-Simon s’est envolé. Ça l’a détruit. Et si sa fille est la plus belle chose qu’il n’ait jamais eue, il s’est rapidement enfermé dans les cuisines du restaurant, délaissant sa famille. ✳︎ Jade a laissé Louis-Simon se remettre de sa perte pendant plusieurs mois. Puis elle l’a prévenu qu’elle avait besoin de lui. Qu’il fallait qu’il revienne. Elle lui a laissé plusieurs mois supplémentaires et elle a fini par demander le divorce. ✳︎ Leur divorce s’est fait rapidement. Leur amour s’était éteint avec la flamme qui brillait dans les yeux de Lou. Jade a obtenu la garde de Judith, et Louis-Simon avait le droit de passer un weekend sur deux avec la petite. ✳︎ Un an après son divorce, Lou a obtenu sa seconde étoile pour le restaurant de son grand-père. À ce moment là, il a ressenti le besoin de tourner la page, d’entamer quelque chose de nouveau. Et un peu par hasard, il a postulé pour un job à la Maison Blanche. À sa grande surprise, sa candidature a été retenue. ✳︎ Cela fait trois ans que Louis-Simon est à Washington et qu’il est le chef cuisinier du président américain. ✳︎ Judith a aujourd’hui cinq ans. Il voyage en France dès qu’il en a l’occasion pour lui rendre visite (et accessoirement à ses parents aussi), mais lui paie souvent le voyage jusqu’à Washington pour lui faire goûter à son « rêve américain ». ✳︎ S’il essaie de garder bonne figure, Lou souffre énormément d’être si loin de sa fille, et il ne s’est jamais vraiment remis de la perte de son grand-père. ✳︎ gentil, serviable, franc, honnête, adroit, curieux, têtu, impulsif, serein, imprévisible, joueur, passionné, a peur de s’attacher, observateur, discret, rusé, simple, modeste, blessé.

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mise en situation rp


    Judith,

La première fois que je t’ai tenue dans mes bras, j’ai su que mon monde allait changer. J’ai eu neuf mois pour essayer de réaliser, neuf mois à te regarder gonfler dans le ventre de ta mère. J’étais heureux, c’est sûr. Je le suis toujours. Mais quand t’es arrivée, pour de vrai, quand je t’ai portée, enfin, tout a changé. Le monde entier m’a semblé infiniment plus beau. Je n’oublierai jamais ce jour-là. Tes petites mains qui s’agrippent aux miennes, tes joues rosées et ton nez parfait. On était parfaits tous les trois. On aurait dû durer une éternité. Il faut que tu saches que cet amour, celui qui perce encore à travers les photos, était sincère et puissant. Nous étions heureux. Non, nous sommes heureux. Encore aujourd’hui. Seulement différemment. Je t’aime Judith, sans limite et plus que ce que tu ne pourras jamais imaginer. J’aime ta mère, aussi. Plus comme je l’aimais avant, plus comme les amoureux s’aiment. Mais comme celle qui a donné naissance au plus beau trésor de mon existence. Peut-être que tu ne comprends pas tout, mais quand tu reliras cette lettre dans plusieurs années, quand tu auras mon âge, alors j’espère que tu comprendras. Mais ne grandis pas trop vite, d’accord ? Il faut que tu profites de l’innocence de l’enfance. Il faut que tu ouvres tes yeux de petite fille et que tu découvres le monde en toute simplicité, que tu te nourrisses de sa beauté. Il faut que tu vois les belles choses qui t’entourent tout en ignorant la complexité qui les habitent, tout en oubliant de penser aux mauvaises choses qui ne sont jamais très loin. Et puis il faut que tu te crées ton univers à toi, avec tes jouets, ton imagination, ton essence. Cet univers dans lequel tu te réfugieras le jour où un garçon t’embrassera pour la première fois. Cet univers qui t’abritera quand t’auras envie de crier au monde entier d’aller voir ailleurs. Mais le plus important Judith, c’est qu’il faut que tu sois toi. Juste toi. Que tu te sentes libre et heureuse. Que tu sois introvertie ou extravertie, homosexuelle ou hétérosexuelle, colorée ou gothique. Il faut que tu sois toi. Et si les autres ne te voient pas telle que tu es, s’ils ne t’acceptent pas telle que tu es, alors donne leur un peu de temps. Ils seront obligés de t’aimer. Et moi, qui que tu deviennes, je serai fier de toi. Peut-être que je serai chiant et un peu encombrant, j’essaierai pourtant d’être transparent, mais il faut que tu comprennes qu’en tant que père, je vais m’assurer que tu sois en sécurité. Heureuse, bien sûr, mais en sécurité. La personne qui partagera ta vie, quelle qu’elle soit, devra te respecter. C’est ma seule condition. Et alors, je l’aimerais inconditionnellement. Tu vois, c’est tout ce que je demande. Je suis pas très compliqué au final. Si tu n’es pas convaincue, attends un peu d’avoir des enfants. Enfin attention, je te dis pas de te précipiter vers la maternité. Je suis pas prêt à devenir grand-père. Tu n’as que cinq ans Judith, mais j’ai pourtant l’impression que tu as grandi trop vite. Ce n’est pas ta marraine qui dira le contraire. Je voudrais que ton enfance soit en lecture répétée, comme une chanson qu’on écoute en boucle sans jamais s’en lasser. Je te regarderais faire tes premiers pas, apprendre à parler, à bouder, à chanter, à rire. Je te regarderais faire tout ça en repeat. Oui je sais, je deviens un peu trop mielleux. Mais je n’y peux rien. Vivre loin de toi me rend trop mélancolique, trop sensible. Je voudrais te parler d’autre chose aussi, Judith. Je crois que je suis en train de tomber amoureux. Je suis désolé, ce n’est sans doute pas évident de nous imaginer maman et moi trouver quelqu’un d’autre dans nos vies. Mais tu sais, on ne peut pas éviter l’amour. Sinon, tout serait beaucoup plus facile. Parce que j’ai peur, Judith. Je la connais depuis longtemps, j’ai besoin d’elle trop souvent. De sa présence, de sa franchise, d’elle, tout simplement. Alors j’ai peur qu’en allant trop loin, on finisse par se perdre. J’ai peur de tout foutre en l’air. J’aimerais que tu puisses me dire quoi faire. Alors peut-être que j’essaierais de trouver des mots d’enfants pour te parler de Mila. Et puis il y a la différence d’âge, aussi. Ça fait beaucoup de risques à prendre, beaucoup de choses à perdre. Je t’ai pourtant conseillée d’être toi-même. Et je ne serais pas moi-même si je la laissais s’en aller. Je trouverai le courage de sauter dans le vide, mais ça sera un saut sans élastique. Un saut qui impressionne et dont on se souvient toute sa vie. Oui, c’est ce qu’on ressent quand on est amoureux Judith. Un peu comme de l’adrénaline, mais puissance mille. Et quand enfin tu es avec la personne que tu aimes, que tu te tiens près d’elle ou que tu la regardes, y’a comme un incendie qui brûle à l’intérieur de toi. Ce n’est pas douloureux, en réalité, c’est le sentiment le plus agréable que je connaisse. Quand ça t’arrivera, alors tu sauras de quoi je parle. Tu comprendras. Tu auras besoin de temps pour réaliser, sans doute. De recul pour te lancer, aussi. Mais si jamais tu as besoin d’une oreille à qui parler, je suis là. Je sais que ce n’est probablement pas à moi que tu en parleras. Peut-être à l’une de tes meilleures amies, ou même à ta mère. Les filles ont souvent la même vision des choses à ce sujet. Mais surtout, n’oublie pas que tu as ton papa. Qu’il t’aime, et qu’il est là. Aucune distance n’est assez forte pour me séparer de toi. Qu’importe les baleines qui nagent entre nous et les bateaux qui naviguent entre nos deux continents, toi et moi, c’est cette entité incroyable qui n’a ni frontières ni définition. Si tu te bouches les oreilles très très fort, alors tu m’entendras crier à l’intérieur de toi que je t’aime jusqu’à la Lune et même au delà.
    Papa



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ce qu'il faut savoir sur toi


» Prénom : margaux.
» Pseudo : chocolate punchy.
» Âge : vingt-quatre ans.
» Scénario ou personnage inventé : inventé.
» Des multicomptes ? shiloh rhimes, rylan rhodes.
» Impression sur le forum : que dire de plus ?
» Crédits : dailysamclaflin.tumblr.
» Le mot de la fin : rip mon reeve d'amour.
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